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Annuelle 2019 - La Vendée - 1793
Dans l'édition annuelle 2019 de l'ATO
« Ô Liberté, combien de crimes sont commis en ton nom ? »
— Madame Roland (à la guillotine), 1793
Les provinces du centre-ouest de la France se révélèrent être un véritable casse-tête pour la jeune République française, puis pour l'Empire. Là, les nobles vivaient en harmonie avec les paysans catholiques, qui les respectaient. Les décrets parisiens instaurant la conscription et la fermeture des églises encouragèrent la contre-révolution. Les paysans vendéens (les « Blancs ») supplièrent leurs nobles locaux de se rebeller et de les défendre contre une armée d'invasion massive (les « Bleus »).
Malgré des chances infimes de succès, les Blancs, grâce à un courage martial remarquable, s'emparèrent des terres nécessaires. La victoire semblait possible malgré les massacres perpétrés par les deux camps. À un moment donné, le duc d'York envisagea même de débarquer des troupes britanniques en renfort. En infériorité numérique de deux contre un face à des troupes bien équipées commandées par les généraux Lazare Hoche et Jean-Baptiste Kléber, la Vendée fut soumise et de vastes étendues incendiées. Ses habitants furent massacrés. Les historiens débattent encore aujourd'hui de la pertinence du terme « génocide » pour qualifier ces actes.
Pourtant, la Vendée (prononcée « VON-Day ») se souleva à maintes reprises sous le règne de Napoléon. Notamment, les Blancs inquiétèrent même l'Empereur durant les Cent-Jours. Napoléon y envoya d'ailleurs 20 000 hommes pour la coloniser. Ces troupes auraient-elles pu éviter la défaite à Waterloo ?
Ce jeu de stratégie de John Poniske met en scène le premier soulèvement royaliste de 1793. Le joueur « Blanc » s'efforce de capturer et de tenir les forts républicains. Si tout se déroule comme prévu, les Anglais pourront entrer en scène. Pendant ce temps, les armées « Bleues » tentent de submerger leurs adversaires, plus faibles, et d'appliquer la politique de la terre brûlée, tandis que des partisans les harcèlent sans relâche. Des cartes Événement offrent aux deux camps des opportunités et des défis.
Jeu bonus inclus ! : Ce numéro annuel contient également un jeu supplémentaire. « Day of Infamy » analyse l’attaque aérienne japonaise sur Pearl Harbor. Coup de maître ou frappe mal conçue et mal exécutée qui a finalement manqué sa cible ? Explorez cet événement tragique avec ce jeu passionnant ! De plus, des cartes supplémentaires pour le jeu « Die Atombombe » , publié dans ATO n° 50, sont incluses.
La Vendée et l'Annuel ATO Magazine 2019
Cartes : Une carte en couleur de 56 x 86 cm (22 x 34 pouces)
Pions : 176 pions en couleur prédécoupés de 1,6 cm (5/8 pouce) ;
Cartes : 26 cartes ;
Règles du jeu : 20 pages ;
Tableaux d’affichage des armées : 2 pages ;
Complexité : Moyenne ;
Durée d’une partie : Jusqu’à 3 à 4 heures ;
Niveau de difficulté en solitaire : Moyen
Conception : John Poniske ;
Développement : Russ Lockwood
Conception graphique : Mark Mahaffey